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Scrunch c'est quoi ?
Décédée sur ce joueb pour raisons diverses

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Juste pour te dire...
--> Lettre écrite à toi, l'Inconnu.

Lettre écrite pour juste lire de jolis mots... Aucun fondement dans ma vie.

Mon Inconnu,

Oui, cela peut te paraître bête de fantasmer sur toi ainsi. Mais je crois, que je pense encore à toi. Encore un peu, je crois. Je t'ai aperçu dans cette toile, et puis finalement, tu es passé très vite. J'ai juste eu le temps de voir que tu avais un sourire charmeur, des yeux sûrement bleus, et puis ces cheveux presque blond.

En fait, confidence pour confidence, je pense à toi tout le temps. Pourtant cela fait déjà deux ans que je t'ai aperçu. Je sais, j'exagère. Je ne devrais pas. Mais je vis ma vie. Ne pense pas que mon coeur s'est abandonné totalement à toi. Non, loin de là. J'ai un copain, j'ai eu des copains,et j'aurais des copains. Je vis, vis et revis encore et toujours. Enfin, je pense à toi.

On m'a toujours dis que le coup de foudre n'était qu'une illusion. Juste un truc de grand-mère, pour faire tenir les jeunes filles, pour les mettre dans une optique du parfait amour,et de donner sa fleur à son mari, qui sera forcément un coup de foudre. Alors, je crois que j'ai eu un coup de foudre. Résultat, j'ai brûlé mes ailes avec d'autres, j'ai donné ma fleur à d'autres, et puis, toi, je t'imagine. Non, tu n'auras pas la petite fille naïve, dont tu rêvais. Tu auras une véritable guerrière prêt à tout pour sauver les fleur de notre Amour.

Si Amour, il y a un jour. Car pour l'instant, je n'ai rien de toi. Pas un geste un regard. J'ai juste des paroles. Je me nourris de paroles, de textes.  Non, je me nourris d'une image, d'un souvenir. Impérissable. D'une photo. D'un numéro, d'une adresse. Je n'ose t'écrire, mon Inconnu. Je pense, encore à toi. Quand je suis seule avec moi-même, que la nuit vient doucement dans mon esprit, j'entends cette voix, ce rire. 

Ton reflet flotte dans mon esprit. Ton parfum m'entoure langoureusement. Tes gestes qui deviennent si imprécis au cours de ces deux longues années, me font encore frémir. Tu ne m'as pourtant pas frôler. Tu étais à l'aéroport. Tu partais dans ce pays, de l'autre côté de tout. Tu ne m'as pas frôler, presque pas regardé. Je n'étais que cette enfant. Pourtant tu m'as marqué. A jamais.

Inconnu, si tu lis ces lignes, sache que je t'aime.

(Délire total en histoire ... )

Sorti des méandres de Scrunch, le Mardi 6 Avril 2004, 21:51 dans mon foure-tou"Les jours basiques..".
Balancez des fleurs et des strings à l'auteur ! ( Les tomates aussi ..)